Biographie
L’art du trait et
de la patience
Lyonnais d’origine, aujourd’hui installé dans le nord de l’Isère, Zaitsev dessine depuis l’enfance.
Autodidacte, il a développé sa pratique au fil des années, affinant sa technique et son sens de l’observation à travers le temps, la persévérance et l’expérimentation.
Ce goût du trait et de la précision s’est transformé en un langage personnel. Le pochoir s’est imposé comme une évidence : une méthode à la fois exigeante et libératrice, qui structure le geste tout en laissant place à l’imprévu.
Ce qu’il aime, c’est ce rythme lent qui accompagne chaque étape, le dessin, la découpe, les ajustements, les reprises, jusqu’à voir le visage se révéler peu à peu.
Ce processus, presque méditatif, met en jeu autant la rigueur du geste que la sensibilité de la vision.
Autodidacte, il a développé sa pratique au fil des années, affinant sa technique et son sens de l’observation à travers le temps, la persévérance et l’expérimentation.
Ce goût du trait et de la précision s’est transformé en un langage personnel. Le pochoir s’est imposé comme une évidence : une méthode à la fois exigeante et libératrice, qui structure le geste tout en laissant place à l’imprévu.
Ce qu’il aime, c’est ce rythme lent qui accompagne chaque étape, le dessin, la découpe, les ajustements, les reprises, jusqu’à voir le visage se révéler peu à peu.
Ce processus, presque méditatif, met en jeu autant la rigueur du geste que la sensibilité de la vision.
Portraits et rencontres :
entre matière et inspiration
Zaitsev travaille sur différents supports, qu’il s’agisse de toile, de bois, de papier ou de métal, selon ce que chaque surface lui inspire.
La texture du matériau, sa densité ou sa résistance orientent la manière de travailler et influencent le résultat final.
Ses inspirations viennent souvent du réel : des visages croisés, des postures observées, des images saisies au passage. Pourtant, ses portraits n’appartiennent à personne : ils évoquent sans désigner, traduisent sans illustrer.
Ils s’inscrivent dans une recherche continue, où chaque série nourrit la suivante, où chaque tentative devient un pas de plus vers une forme d’épure. Certaines commandes offrent à Zaitsev l’occasion de créer des pièces uniques, nées d’un échange entre son univers et celui de son public.
À travers ses œuvres, il questionne notre façon de regarder les autres et, en filigrane, notre manière d’être au monde.
Ses inspirations viennent souvent du réel : des visages croisés, des postures observées, des images saisies au passage. Pourtant, ses portraits n’appartiennent à personne : ils évoquent sans désigner, traduisent sans illustrer.
Ils s’inscrivent dans une recherche continue, où chaque série nourrit la suivante, où chaque tentative devient un pas de plus vers une forme d’épure. Certaines commandes offrent à Zaitsev l’occasion de créer des pièces uniques, nées d’un échange entre son univers et celui de son public.
À travers ses œuvres, il questionne notre façon de regarder les autres et, en filigrane, notre manière d’être au monde.
